Letttre à la Sécurité Sociale.
Chère Madame SS,
Défiguré depuis la puberté par les hémorroïdes, je dois quelque répit à l’ostréïculture, qui quoiqu’approximative reste hors de mes bourses. Aussi solstice-je d’être dédommagé avec la célérité et l’homéopathie qui vous cautérise. Fort de, veuillez croire chère Madame, à l’asphyxie de mes desideratas les plus circulaires. Je reste votre imputrescible et dévoué 1.54.04.78.512.644.
Lettre au ministre de l’éducation nationale…de l’époque
Très cher Allegre,
Peut-être l’êtes vous toujours, moi plus !
Plutôt qu’à dépoussiérer le Mamouth, comme vous vous y essayates avec si peu de succès, et quitte à faire sortir Brigitte Bardot de sa réserve, je suis révolu à lui ligaturer la trompe (au Mamouth !) tout gros pachyderme velu qu’il est.
Figé pour toujours, au cœur des glaces du secteur public, l’adipeux susdit produit malgré tout moult alpha-bêtes comme ses (gros) pieds, au QI * qui force l’ irrespect : fautes d’orthographe au revers, verbe approximatif, et cerise sur le ghetto tous persuadés que Proust est coureur automobile.
Restituez à Ferry ce qui est à Jules : hormis le poids des cartables qui oblige écoliers et écolières à recourir à l’E.P.O, je doute que l’école ait beaucoup évolué depuis le début du siècle.
Je compte sur vous pour remédier à tout cela par retour de courrier, et me le faire savoir à la télé .
Fort de cette expectative je reste votre avoué,
Didier Deléglise, écolier du père au fils et pustulant professeur
*Quota d’ Illestrisme (le traducteur)